Un hypersceptique, c’est celui qui doute de tout, jusqu’à l’absurde. Peu importe les arguments, il a toujours une excuse pour rejeter : « Et si c’était une illusion ? » ou « Rien n’est absolument sûr. »
Contrairement au sceptique rationnel, qui accepte des preuves solides, l’hypersceptique se barricade dans une boucle de doute. Même si Dieu apparaissait devant lui, il pourrait dire : « Peut-être que je suis dans la Matrice. » Comme un complotiste qui pense que la Terre est plate malgré les photos satellites, il ne manque pas de preuves, il refuse de les accepter.
Ce doute extrême puise ses racines dans certaines dérives de la philosophie occidentale, qui rejette les vérités absolues au profit de cadres relativistes. Ces philosophes, dopés à l’analyse sans fin, ne cherchent souvent plus la vérité, mais à gagner des points dans des débats stériles. Ils défendent des idées bancales juste parce qu’elles sont « logiquement possibles », comme si la vérité était un jeu d’avocats.
Méfiez-vous de ces dérives philosophiques, mais ne jetez pas tout : certains penseurs, même modernes, défendent des vérités solides, y compris l’existence de Dieu. Le problème, c’est quand le doute devient un mur mental.
Prenez le bon sens : si vous demandez à 100 personnes, « Rien peut-il créer quelque chose ? », la plupart diront non, c’est absurde. Pourtant, certains philosophes occidentaux embourbés dans ses théories, pourrait répondre: « On ne peut jamais être sûr. »
👉 En résumé : un hypersceptique rejette toute vérité par doute obsessionnel, et beaucoup de philosophes occidentaux cherche surtout à débattre pour débattre, ou construire un cadre Cohérent de penser sans prétendre à la vérité.